Le protocole de Londres sur la traduction des brevets Européens ne réduit pas les frais de traduction associés au dépôt de brevets industriels, mais contribue fortement à réduire l’influence de la France au sein de l’Europe en matière d’innovation. C’est la conclusion inattendue d’un article très fouillé rédigé par Christian Harbulot, le Directeur de l‘Ecole de Guerre Economique (ESLSCA Paris), spécialiste de l’intelligence économique, et publié par L’Usine Nouvelle.
Un article passionnant, qui donnera des arguments à ceux qui tentent encore de vendre de la traduction de brevets aux bureaux d’étude… quand ils n’ont pas déjà mis la clef sous la porte du fait dudit protocole.