De retour de vacances (ce qui explique un court silence), je découvre un intéressant billet de Global WatchTower, qui s’interroge sur l’intérêt de la traduction collaborative en s’appuyant sur l’expérience de Facebook en la matière. Il en ressort que ce n’est pas tant la gratuité du processus (les traducteurs sont des bénévoles) que sa rapidité (la traduction est répartie) qui est recherchée. Avec raison, apparemment, puisque Facebook a pu établir une visibilité mondiale maximale en un temps record, et faire croître son audience alors même que qu’elle stagnait aux Etats-Unis. Les sociétés de traduction comme Anyword devraient-elles pour autant exploiter ce type de technologie ? Le débat reste ouvert.